20 février 2010
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16:47
Jeune femme sauvage et désorientée cherche boussole pour
rencontre nocturne et jubilatoire avec une âme mixte et rieuse
pouvant m'apprivoiser. Un visage, un physique ingrat n'est pas
exclu s'il est énigmatique. Néammoins, toi l'âme hideuse et
banale qui rêve déjà de passerelle pour la bagatelle, ne te fais
pas d'illusion, va plutôt palabrer sous les cocotiers, t'attabler
avec tes sinistres compères.
Qui, sous la voie lactée, accrocherait à mon coeur un rhizome
de lumière serait l'heureux élu.....
Jeune homme désespéré au visage ingrat....
MS Michel
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Mars 2008
20 février 2010
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16:38
Entre Ciel et Terre, toi, l'Homme:
Rhizome en Terre, visage aux Cieux,
Tu essaies de t'apprivoiser,
De t'attabler au festin des Humains,
De marcher sur ton sentier,
Et de trouver la passerelle jubilatoire de ton destin;
Les palabres quotidiennes, tantôt forcées, tantôt menées avec tact,
Te servent de boussole en ce monde.
Entre Ciel et Terre, toi, l'Homme,
Rhizome en Terre, visage aux Cieux.
Entre Ciel et terre, moi la femme:
Rhizome en Terre, visage aux Cieux,
Je suis perdue, ma boussole est déréglée, je ne peux m'attabler,
Ma palabre est étrangère aux palabres jubilatoires des Autres.
Puis je te vois, toi, qui tisses avec tact une passerelle,
... et je me laisse apprivoiser.
Entre Ciel et Terre, nous,
Rhizomes en Terre, visages aux Cieux.
Mademoiselle Qui
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Mars 2008
20 février 2010
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16:31
SUR
la passerelle
qui apprivoise avec
tact le VERTIGE du
grand vide une boussole déboussolée
palabre et s'attable avec un rhizome
avec toi et ton visage à l'HORIZON
NG
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Mars 2008
20 février 2010
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16:18
Pour toi Corinne,
J'ai apprivoisé un louveteau
Il a le visage gai
Je lui ai donné une boussole
Mais il ne sait pas s'en servir
Je l'ai appelé Goulu
Car quand il s'attable
Il boit avec gourmandise le lait.
Nous avons passé une passerelle
Il a été surpris de l'eau en dessous
C'était jubilatoire pour lui
Après il a arraché un rhizome d'iris
Avec beaucoup de tact.
fait par Camille après des palabres avec son père
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Mars 2008
20 février 2010
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16:10
Apprivoise-moi !
Sans palabre,
Sans boussole,
Je viens vers toi !
Apprivoise-moi !
Juste une passerelle
Qui me donne des ailes
Pour voler jusqu'à toi !
Apprivoise-moi !
Oui...ton visage
Et son air jubilatoire
Me poussent à croire
Qu'avec toi, je peux m'attabler !
Un sentiment est né !
Tel un rhizome,
Il va s'enraciner !
Et je le nomme
Avec tact et fierté:
Amitié !
Amajou
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Mars 2008
20 février 2010
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16:04
Tous ces moutons apprivoisés... pas besoin de boussole pour s'y retrouver
Leur lait jubilatoire est le rhizome du Jura.
Toutes ces palabres que nous ne pouvons comprendre
sont des passerelles à travers le temps.
mais toi, tu sembles t'en moquer,
Sur ton visage se dessine tout l'amour que tu as pour ce Pays
et le tact que tu as pour lui parler.
Léo
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Mars 2008
20 février 2010
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15:59
C'est moi le plus beau du quartier...
Alors comment t'apprivoiser toi dont le visage me fait perdre la boussole ?
Quelle passerelle franchir pour t'approcher ?
Surtout pas d'excès, de palabres ou d'air jubilatoire, mais du tact !
M' attabler près de toi, dans ton petit restau préféré, serait la bonne feinte.
Mais comment "assurer" avec mon rhizome ? pardon ! mon énorme rhume ?
Atchoum !
Françoise
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Mars 2008
20 février 2010
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15:51
Pour toi !
Tu as accepté ma palabre,
tu m'as répondu avec tact,
merci.
Tu t'es attablé
et les mots tu as apprivoisés
pour te lancer, sans boussole,
sur une passerelle poétique,
et offrir des textes à racines ou à rhizomes
à la lecture jubilatoire.
Le temps est venu pour les dix mots- les dits mots-
de dévoiler leurs visages.
Corinne( alias Mademoiselle Qui)
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Mars 2008
20 février 2010
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15:25
Cette liste de mots, refrain infernal, me rend irascible...
Comment ma petite pelletée de neurones contenus
dans mon cerveau d'oisillon va-t-elle en extirper un texte ?
Mon instinct de félin me fait rebondir...aïe...mon muscle poplité
en souffre !!
Qu'importe ! un peu d'abrasif et toutes les difficultés sont
aplanies:
les mots sont apprivoisés,
les mots ne sont plus figés
dans une liste,
les mots sont partis gambader,
les mots d'aoüt
deviennent...
presque doux !!
amajou
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Septembre 2009
20 février 2010
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14:31
- Arrête, tu es ridicule. Et en plus tu rugis pour rien.
- Ridicule, ridicule, j'aimerais t'y voir. Et je rugis si je veux.
- En tout cas, ce n'est pas en rugissant que tu vas réussir à t'extirper
de l'endroit où tu es.
- Si je connaissais celui qui a creusé ce piège, je le dévorerai
séance tenante et.....
- Séance tenante....Môssieur se la joue intello....
- Me cherche pas bec à plumes, tu connais mon côté irascible
quand je suis en colère et j'ai une réputation à défendre.
Je suis quand même pas le roi des félins pour rien. Alors boule de plumes,
je rugis et je dévore si je veux.
- T'énerve pas tête de poils, il doit y avoir une solution pour te sortir de là.
- Tais-toi, oisillon de pacotille, à quoi peux-tu me servir du haut de ta branche
et avec ton profil de plume de pupitre ?
- Intello et mal élevé !!! Ca me rappelle mon cousin Titi avec Gros Minet.
- Je sais, je sais, je connais le refrain: " Oh Titi, je vais te manger."
D'ailleurs je n'en pense pas moins, suivez mon regard...
- La bave du lion n'atteint pas la blanche colombe et malgré cet esprit corrosif,
voire abrasif qui est loin de m'écorcher, je consens à t'aider avec les petits
neurones que je possède. Je peux réfléchir, moi, au lieu de brailler à tout vent !
- Je vais me la faire la tête de piaf !!!
- Roi des félins, roi de la jungle, peut-être, mais qui n'arrive pas à se contenir en
toute circonstance. Ce n'est pas une réputation à défendre mais une éducation
à refaire.
- Si je n'avais pas cette douleur au creux poplité derrière ma patte, il y a longtemps
que j'aurais bondi hord de ce trou pour m'occuper de ton cas et te voler dans les plumes.
- Avec toutes les pelletées que l'homme a soulevées pour creuser ce trou, il te faudrait
être champion du monde pour réussir une telle performance.
Allez salut tête de poils écervelée.......
Jean le Normand
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Septembre 2009