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8 janvier 2017 7 08 /01 /janvier /2017 09:07

Grave décision
L'autre jour, j'ai pris une grave décision: moi qui ai tendance à
PROCRASTINER,
je décidai enfin à mettre de l'ordre dans la cabane du jardin .
Dans tout le FATRAS
d'objets insolites, je découvris un vieux fusil et même son
ECOUVILLON.
La solution IDOINE
eut été de le nettoyer quand mon attention fut attirée
par un bruit étrange : je crus avoir une vision,
pourtant je suis ABSTEME
grâce à l'ASSOCIATION des AA.
Une jolie mésange au ramage
CORUSCANT
se tenait
accrochée au manche du râteau.
Elle se mit à ZINZINULER, je lui répondis en
VIRELANGUE.
J'aurais aimé faire un
SELFIE
mais l'oiseau s'envola par la porte
restée ouverte.
Jacqueline

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6 décembre 2016 2 06 /12 /décembre /2016 09:29

Rébellion.......

 

 

 

...Sauf le respect avunculaire que je vous dois, mon cher oncle,

j'ose vous avouer que j'abhorre ce salmigondis de mots tordus que l'on nous balance, bille en tête, avec une certaine habileté certes,

mais quand même …..!!!!

 

 

Faut-il être irrémédiablement jobastre pour trouver la sauce appropriée à leurs accommodements !

Comment les mettre en valeur ?

Comment leur donner vie ?

 

 

Quelque jeune péronnelle effrontée, aux accroche-coeurs aguichants,

se fera peut-être un plaisir de musarder ,

le nez au vent,

pour trouver l'inspiration !!

 

 

Mais......pourquoi donc ne pas les laisser dormir bien au chaud (hiberner...quoi!) entre les pages du dictionnaire comme le pauvre sapajou dans sa cage ??

 

 

Consolation.....

 

Cela dit, ils m'ont chuchoté à l'oreille.....

« Merci de nous avoir sollicités !

Sans vous

nous étions destinés....

à être.....oubliés »

 

 

Ama

 

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6 décembre 2016 2 06 /12 /décembre /2016 09:28

E G O C E N T R IS M E


 


 

Une vague relation AVUNCULAIRE que j' ABHORRAIS avec ses ACCROCHE-COEUR et ses mimiques de SAPAJOU , accompagnés d'un SALMIGONDIS d'accessoires disparates , guêtres, chapeau haut de forme, canne, monocle - et j'en passe - qu'il maniait, il faut bien le dire, avec une certaine HABILETE , ont amené la PERONNELLE que j étais à l'époque à lui lancer BILLE EN TÊTE que je le prenais vraiment pour un JOBASTRE qui aurait mieux fait , plutôt que de MUSARDER pour se faire remarquer, de se rendre utile envers son prochain lui qui avait le temps et les moyens pour ce faire ...
Mais il est bien difficile, quand on est concentré à ce point sur son nombril, de voir qu'il existe autre chose autour de soi …


Pauv' mec !!!

 

 

 

Mariette

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6 décembre 2016 2 06 /12 /décembre /2016 09:27

Un sacré numéro

 

Sur la place du village un cirque a dressé son chapiteau. De l'intérieur, une certaine effervescence s'en échappe.

Sur la piste, dans un décor sommaire rappelant celui d'une chambre de jeune fille, un personnage évolue ; c'est un sapajou.

Face à un miroir, avec habileté, l'acteur, qui prend des airs de péronnelle, s'amuse comme un petit fou.

De ses dix doigts, un accroche-coeur se dessine sur le haut de son crâne alors qu'il y a déposé une belle perruque blonde. Un bâton de rouge à lèvre d'un rouge vif égaie ses babouines lippues. Une paire de chaussures talon aiguille donne un galbe harmonieux à ses mollets.

De pied en cap...tout va bien !

Des petits cris, des soubresauts tel un jobastre ponctuent ses mimiques ! Apparemment, elle se trouve belle, la bête !

Mais reste...le reste...

Bille en tête, le singe fonce vers une malle... (Oh ! Pardon, il avance comme s'il marchait sur des charbons ardents voire même dangereusement car ses cothurnes* ont tendance à le déséquilibrer... et malheureusement, il travaille sans filet ! )

...pour y extirper des vêtements féminins. Tout vole dans les airs : soutiens-gorge – chemisiers – jupes ...un véritable salmigondis .

Il semble abhorrer tout ce qui lui tombe sous la main. Il ne musarde pas, dans ses prises de décision.

De cette frénésie naissante, ses cris deviennent plus perçants, des bonds désordonnés traduisent sa mauvaise humeur.

Arrivera-t-il à s'habiller à son goût ?

C'est alors qu'arrivent, en grande pompe, des membres de sa tribu, semble-t-il, beaucoup plus âgés. Il faut calmer l'énergumène.

Par enchantement, de leurs attitudes posées, de leurs regards imposants, une autorité avunculaire mystifie ce foldingue.

Et, le voilà affublé d'un chemisier au décolleté affriolant, d'une jupe fendue audacieuse, d'une ceinture en croco...une star est née.

L'assistance est en délire...Le numéro est réussi.

Avec déférence, l'interprète salue le public par une révérence « Pirouette cacahuète »

La saynète est intitulée « Joue pas ça » !

Avez-vous compris ?

L'auteur et interprète se nomme « SA PA JOU »

Si cette bille de clown vous a intéressés, n'oubliez pas de lui offrir une banane !

 

Serge

 

 

* chaussures de l'Antiquité gréco-romaine

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6 décembre 2016 2 06 /12 /décembre /2016 09:26

Spectacle

 

Assis à ma place préférée, une bière pour m’accompagner, je parcours les nouvelles du jour. Un dernier article sur l’art et la manière de préparer un salmigondis attire mon attention et je replie mon journal pour m’adonner à un de mes passe-temps.

Me délecter du spectacle de la rue, en mode panoramique, profiter des sons, attitudes, allures, au gré des gens qui passent d’un pas pressé, qui musardent tout simplement ou qui s’arrêtent le temps d’échanger quelques mots.

A la terrasse où je suis, deux personnages proches éveillent bien vite ma curiosité. Un couple dont on devine à travers les propos le caractère avunculaire de leur relation. Un homme d’âge mûr, parlant haut et fort, un peu trop jobastre à mon goût est en conversation avec une jeune fille que l’on pourrait sans méchanceté comparer à une péronnelle tant les réponses sont niaises et de mauvais goût.

L’apparition de la serveuse apporte un relief nouveau à la scène. Elle se faufile d’un pas assuré, avec habileté malgré un plateau bien fourni, en slalomant entre les tables. Fidèle à ses habitudes, elle porte la même tenue, est coiffée avec soin, de petits accroche-cœurs lui ornant le front, le visage rayonnant malgré la fatigue et le stress qu’on peut deviner.

Finalement j’abhorre ce duo qui gâche mon spectacle et m’agace. A les voir, à les attendre, à deviner leur manière de se comporter, je suis sûr qu’à la place de la serveuse, ils fonceraient bille en tête et déclencheraient des catastrophes en cascade.

Je me détache progressivement de cette pauvre saynète pour poursuivre mon observation et m’intéresser aux autres acteurs de la rue. Le spectacle continue…..mais je vous laisse, d’autres sapajous viennent de s’installer …..

Jean

 

 

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6 décembre 2016 2 06 /12 /décembre /2016 09:23

Chère Anne Marie,


 


 

Voici ce qui m'est arrivé dernièrement:


 

D'habitude j'aime musarder dans les rues,le vent me faisant des accroche - coeurs dans les cheveux, mais là j'allais bille en tête super pressée, car je voulais aller au jardin zoologique avant la fermeture.

En effet j'avais hâte d'y voir leur nouveau pensionnaire: un adorable sapajou.

Malheureusement, j'arrivais trop tard et une espèce de péronnelle m'en interdit l'entrée.

Avec ce que je croyais être une grande habileté et bien qu'abhorrant ce principe, je l'abreuvais d'un salmigondis de paroles, croyant grand jobastre que j'étais que j'allais pouvoir l'amadouer.

Hélas rien n'y fit et je rentrais bredouille.


 

Désolée,impossible d'y incorporer le mot"avunculaire"


 

Bises

jacq


 

 

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6 décembre 2016 2 06 /12 /décembre /2016 09:20

AINSI VA LA VIE !


 


 


 

Ces enfants tout GUILLERETS voulaient que quelqu'un pousse L'ESCARPOLETTE alors que les adultes aspiraient au repos mérité après une journée INEFABLE passée à s'agiter derrière un DRONE qui LOUVOYAIT de tous côtés, de gauche à droite, de bas en haut,malgré une PLETHORE de conseils des uns et des autres.


 

Mais rien n'y fit ...


 

Cet appareil avait résolument décidé de FLOTTER à sa guise et nous n'avons pas réussi à le domestiquer.


S'ensuivit une petite ALGARADE, toute amicale, qui n'aurait pas réussi à gâcher notre bonne humeur dans la douceur VESPERALE de cette fin de journée, mais c'était sans compter sur ces gosses CAPRICIEUX …


 

A tour de rôle nous avons dû pousser la balançoire, conscients qu'après le jeu des grands il fallait bien participer au jeu des petits.


Ainsi va la vie ! C'est tous ensemble que nous devons vivre.


 


 

MARIETTE

 

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6 décembre 2016 2 06 /12 /décembre /2016 09:19

Pari osé ou trop risqué ?

 

 

 

 

Apocalypse annoncée ? Etat de grâce ? Sur le terrain, ça va forcément tanguer !

Tel un vieux loup de mer expérimenté, bravant le temps capricieux, cet aventurier du moment, sur une frêle embarcation, louvoie, tantôt à tribord, tantôt à babord.

Guilleret comme un pinson, malgré le danger présent, il affronte une pléthore de roulis successifs, de vagues qui s'écrasent sur le pont. Accroché au gouvernail, frappé par des trombes d'eau, un sourire ineffable, une peur indicible font remonter en surface les mots d'une algarade qu'il a eu avec son pote : « t'es pas cap. »

Sa coquille de noix telle une escarpolette disparaît, réapparaît dans les flots déchaînés. Quand elle disparaît dans un creux, son ami, resté au port, se morfond, la mort dans l'âme; quand elle réapparaît au sommet d'une lame, son visage s'illumine et il pousse un ouf de soulagement !

Pas de balise de détresse dans la clarté vespérale !

Pas de drone pour superviser la zone du possible naufragé, prêt à lancer une bouée gonflable!

Seul un pavillon flotte au mât de l'esquif qui fend à une vitesse incroyable les eaux pour regagner son port d'attache, triomphant.

Pari tenu, pari gagné !

Dans leur déchirement, les deux amis ont eu du pot !

Et...un pot de l'amitié balaiera cet écart de langage.

Le destin a voulu que cette folie passagère ne devienne pas meurtrière.

 

 

Serge

 

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6 décembre 2016 2 06 /12 /décembre /2016 09:18

Tourbillon

 

Poussez, poussez, l’escarpolette

Pour mieux me balancer !

Si ça me tourne un peu la tête,

Tant pis, je veux recommencer !

 

Puis plus rien, le vide, le néant. Il a beau fredonner, réciter les paroles en boucle,

rien n’y fait. La tête lui tourne, en effet, il reste prostré, les yeux hagards.

 

Parmi la pléthore de gens qui arpentent la rue dans cette clarté vespérale,

personne ne se doute de la détresse de cet homme, d’un naturel guilleret mais

confronté soudainement à une mémoire capricieuse.

 

C’est une soirée festive comme il en existe beaucoup durant cette période estivale.

L’ambiance est à la joie, à la fête, à la bonne humeur. Des éclats de rire fusent au rythme d’algarades bien vite avortées.

 

Et pourtant, en ce moment, notre homme est bien seul au monde. Il y a lui et toute cette effervescence qui semble flotter autour. Assis sur le banc, il ne remarque même pas le drone qui survole la fête et reste insensible aux sons environnants.

 

C’est sûr, cette journée ne va pas lui laisser un souvenir ineffable, mais va-t-il se rappeler de tous les instants et de cet épisode en particulier ? Etranger à l’agitation qui l’enveloppe, il se lève, hésitant sur le chemin à emprunter mais se mettant vite à louvoyer pour fendre la foule.

 

Je quitte à mon tour le banc que nous partagions non sans avoir jeté un regard ému sur cette silhouette qui s’éloigne. Un mélodie me trotte dans la tête……

 

Poussez, poussez la chansonnette

Poussez pour mieux m’accompagner.

Si ça ne me prend pas la tête,

Tant mieux, on peut recommencer !

 

 

 

Jean

 

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6 décembre 2016 2 06 /12 /décembre /2016 09:17

C'est avec une ineffable joie que nous te souhaitons un joyeux

anniversaire. Déjà je te sens tout guilleret. Nous aurions aimé

t'offrir un drone, mais c'est un peu au-dessus de nos moyens,

d'autant que tu possèdes une pléthore d'objets dont tu ne sais

que faire. Nous avions aussi pensé t'offrir une escarpolette pour

ton jardin afin que tu puisses contempler les lumières vespérales

des étoiles. Mais là aussi cela dépassait nos moyens. A force de

discussions, une algarade s'en est suivie ... aussi nous avons

définitivement opté pour une simple carte de voeux. Bisous

 


 

Jacqueline


 


 

réponse: Sans louvoyer, sachant que je ne suis pas capricieux,

cette carte avec sa flotte de vœux m'a rendu heureux !!!

 

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