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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 08:57

Œuvre des matines – Paix niellée

 

Assis de guingois sur le bras d’un fauteuil, à la recherche d’une inspiration, dans une pénombre intemporelle du salon, une kyrielle d’idées fuse…chez cet amateur de petits écrits, histoire de satisfaire un hobby parmi d’autres qui l’habitent.

Un manoir, aux tourelles en poivrière, aux hauts toits en éteignoir,  surgit du néant sur un magnifique lever de soleil.

Le charme des lieux subjugue un promeneur…toutefois, dilettante.

Aussi est-il tenté de pénétrer dans ce trésor architectural ?

Aura-t-il un privilège exclusif ? Qui le sait ?

Enhardi, il n’hésite pas à faire tinter la cloche qui annonce la venue d’un visiteur. Un laps de temps s’écoule…Un personnage en livrée de couleurs rappelant les armoiries du maître se présente l’air guindé.

Un monde sépare les deux personnages : l’un et l’autre représentent deux époques où la chronologie fait défaut.

Mais, contrairement aux apparences, un contact courtois s’établit !

Sans sollicitation particulière, la visite est entreprise.

Dans un dédale obscur de couloirs, de portes, d’escaliers, habité par la magnificence de personnages constellés de décorations en sautoir, à la boutonnière, aux regards perçants, d’objets d’œuvre d’art, plane un mystérieux silence.

Les pas se portent instinctivement vers un lieu d’où monte un brouhaha feutré. Une porte est entrouverte : une armée de domestiques s’affaire ; c’est l’office. Pas un regard, pas un mot, chacun s’active à ses occupations comme si l’intrusion d’un importun était transparente.

Là, s’arrête le récit pour que le lecteur, à son tour, puisse trouver matière à réflexion, dans le monde où nous vivons, riche d’un grand passé, prorogé par un devenir que l’humain devra bâtir !

                                                                Serge

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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 08:56

Fiesta

 

Une kyrielle de personnages étranges, fascinants, drôles, farfelus, extravagants, surprenants.

Un manoir doté d’un parc magnifique.

Un thème intemporel : s’amuser, faire la fête.

Une soirée exclusive où se mêlent tous les genres, toutes les audaces.

Vous l’avez compris, c’est à qui aura trouvé la plus belle inspiration pour se déguiser et ne pas se prendre au sérieux, le temps de changer de peau, d’opérer une  métamorphose éphémère et tenter de subjuguer les regards.

Il y a celui qui marche de guingois, celle qui use de ses charmes, ceux et celles qui ont fait des efforts pour représenter un personnage célèbre, le tout dans une ambiance qui monte crescendo.

Le  jour décline, l’éclairage ajoute une touche de féérie à ce qui est devenu un spectacle nocturne à ciel ouvert. Des cris de joie résonnent au son de musiques entraînantes où les étoiles de cette belle nuit estivale font office de voûte lumineuse.

Viva la fiesta !!!

 

Jean

 

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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 08:53

Haïkus et variations sur le temps

Le jardin d’avril

Dit la promesse des fleurs

Doux parfums subtils.                            Au jardin d’été

                                                                   Une kyrielle de fleurs

                                                                   Aux senteurs poivrées.

Jardin de l’automne

Où refleurit le colchique.

Les odeurs foisonnent.                           Le jardin d’hiver,

                                                                    Figé, sans feuille et sans bruit,

                                                                    Plein de courants d’airs.

Au jardin d’avril

Hirondelles sur un fil,

Bourgeons, bleus pistils.                         Roses exclusives,

                                                                     Sensorielles et capiteuses,

                                                                     Captivent, lascives.

L’arbre de guingois,

Vert intense le feuillage,

De l’ombre pour moi.                               Vendanges d’automne

                                                                      C’est le temps de Dionysos.

                                                                      Mon espoir frissonne.

Et le froid arrive.

Pas de fleur qui s’épanouit,

Ce, sans exclusive.                                     Les fleurs sont fanées

                                                                      Moisissures et fumures

                                                                      Pour finir l’année.

Novembre venu,

Charme diffus des frimas.

Je me sens tout nu.                                   Un oiseau givré

                                                                      Fait office de pendu

                                                                      En noire livrée.

C’est le temps de l’hiver.

Vent glacé qui crie famine.

Travaillent les vers.                                    Les saisons passent.

                                                                       Comment les représenter ?

                                                                       Chemins ou impasses ?

Un manoir tranquille

Pour chercher l’inspiration.

Un feu qui pétille.                                       Chaleur du regard.

                                                                       Quelles forces nous subjuguent ?

                                                                       Sentiments épars.

Rythmes obsédants,

Intemporelles essences

Des cycles du temps.

 

 

AmB

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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 08:52

Songe d'une journée d'été.

 

Août s'achève

et je n'ai pas écrit mon texte.

Manque d'idées?

Panne d'inspiration?

Même pas!

Les mots lus et recopiés

gisent oubliés

sur la table de l'office,

pendant que, les orteils en éventail,

sous le charme ombrageux,

je déguste une kyrielle d'amuse-gueule

et une citronnade intemporelle!

Et je rêve...

Ah! Quitter cette maisonnette de guingois,

four dans la canicule.

Habiter un manoir moyenâgeux

à l'ombre et la fraîcheur exclusives.

Arpenter les pièces baignées de pénombre

et rencontrer les fantômes des seigneurs de ce temps lointain.

Ecouteraient-ils, subjugués, les histoires du futur?

Envieraient-ils les inventions de mon esprit enfiévré?

Ou partiraient-ils, écœurés que leurs bruits de chaîne ne représentent pour moi

que le simple tintement du glaçon dans mon verre estival?

Qui le sait?

 

 

Chantal

 

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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 08:51

Le charme (2)

 

 

Pour en parler, vais-je avoir l’inspiration ?

Le Charme, qu’est-ce-que c’est ?

Tout et rien…

Il joue de sa magie sur les êtres et sur les choses.

 

Il touche tous les sens :

L’ouïe : J’aime le charme de sa voix. Le charme d’un orateur lors d’un office.

La vue : Le charme d’un vieux manoir d’une allure corporelle.

Le goût : Hum ! Cela charme mes papilles.

L’odorat : Ton odeur me charme, me donne envie de m’en griser.

Le toucher : Le contact de ta peau me charme.

 

Certaines personnes dégagent un je ne sais quoi qu’on appelle le charme.

Il faudrait une kyrielle de mots pour l’expliquer mais ils n’existent pas, pas plus

que le charme qui n’est rien mais subjugue par sa présence intemporelle.

Ces gens charmeurs qui jouissent de l’exclusivité de cet avantage, peuvent être

de guingois ou laids, présenter au fond un intérêt moyen, mais habités par cette grâce, ils plaisent.

 

C’est une aura qui enveloppe les êtres, les choses et attire sur elles l’attention.

 

Cet invisible qui nous entoure nous rappelle que nos connaissances sont bien légères face aux mystères qui nous entourent.

   

                                                     

 

 

                                                                                                                           Colette

 

 

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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 08:50

Le charme

 

Qu’a donc fait cet arbre vulgaire

Pour avoir ce nom qui sait plaire ?

De guingois devant le manoir,

A la Saint Hubert, certain soir,

Il a bien abrité l’office

Sous son ombre protectrice.

 

Une kyrielle d’oiseaux graciles

Représentant l’espèce volatile,

A l’exclusivité de ses branches

Qui, lentement, la balancent,

Elle y trouve l’inspiration

Pour une musique de fond.

 

Sifflés par un orchestre fou,

Des trémolos stridents ou doux

Avaient accompagné la messe

Sans que leur piaillerie ne cesse.

Cet arbre paraît intemporel

Installé ainsi dans le ciel !

 

Je suis subjuguée par sa fille,

La douce et tendre charmille

Sous laquelle, bien souvent,

Se sont échangés des serments.

Bref, le charme ne s’explique pas

Et je vais donc m’arrêter là. 

 

                                                       Colette

 

 

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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 08:48

BREF !!!!!!!

 

Subjuguée par le charme intemporel et exclusif de cet ancien manoir un peu de guingois  entouré d’une kyrielle de bassins faisant office de miroirs et d’arbustes taillés représentant divers animaux fantastiques, elle fut prise d’une inspiration subite……. (Moi aussi !!!  Subite, certes…mais …concise ! )

 

Ama

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1 août 2012 3 01 /08 /août /2012 23:25

Mots d’août 2012

 

 

charme ,

de guingois,

exclusive,

inspiration,

intemporel,

kyrielle,

 manoir,

office,

représenter,

subjuguer

 

 

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1 août 2012 3 01 /08 /août /2012 23:19

L’étoile des neiges (  IV e partie et fin )

                                         l’érablière

 

L’hiver de leur vie fut long à se dissiper.....

Des années de vie difficile à être confrontés inlassablement à cette indigence  et ce lourd fardeau de savoir leur petite grandissant loin d’eux !

Dix ans déjà !

Paul et Anna virent bientôt le printemps s’installer dans leur univers, malgré la brise du nord qui arrache quelques frissons sous le soleil, comme pour rappeler la morsure des épreuves.

A l’orée de la forêt, une habitation de planches et de rondins.

La masure où s’était réfugié le couple était méconnaissable: les abords, le sentier avaient été défrichés et rendaient ce lieu moins austère.

Une porte s’ouvrit. Une porte moustiquaire.

Une longue silhouette fine comme un mannequin apparut.

Un chien s’agita. Ce n’était pas Tochan

L’animal surveillait les alentours et réagissait à toute intrusion ...

Le vert puissant de la forêt d’épinettes absorbait la lumière de cette belle matinée ensoleillée.

Ce ruban lumineux se répandait comme un fleuve jusque sur le plateau qui tombait en falaise dans la rivière.

Un air parfumé par la fragrance balsamique des arbres enveloppait le pays. Derrière le bouquet d’églantiers, Paul surgit, la démarche  sûre, sifflotant, une brassée de branches mortes contre sa poitrine.

Anna, sur le seuil, lui adressa un signe de la main. Elle le rejoignit à l’arrière de la petite maison de bois où Paul avait installé tout le matériel nécessaire au bon fonctionnement d’une érablière qui redonnait vie à cette cabane à sucre abandonnée depuis longtemps.

Plusieurs déplacements à la ville avaient été nécessaires pour l’achat de ce matériel.

Ainsi, prenait-il des nouvelles de la pension-école où grandissait Estelle.

La jeune fille allait sur ses douze ans!

 

Ce matin-là, Paul et Anna se rendirent à l’épicerie où étaient vendus les produits de transformation de l’eau d’érable : sirop, beurre, sucre.....La production prospérait.

Pour s’y rendre, Paul avait pu acheter un cheval attelé à une voiture où prenait place leur nouveau compagnon, Otchum.

L’attelage s’engageait sur le long chemin caillouteux qui serpentait à travers la forêt et croisait la route plus confortable qui conduisait à la ville.

En longeant ce sentier forestier, les rênes à la main, Paul renouait avec cet univers grisant, le temps du voyage.

Sa précédente activité de trappeur l’avait rendu réceptif au moindre souffle du vent. Il recevait les lumières et les odeurs avec une extrême concentration des sens. Chaque son _même le plus lointain_ pénétrait son esprit. Il se glissait dans le milieu forestier comme dans une enveloppe.

Il exprimait ses connaissances sans jamais prendre un air fanfaron. 

Il était fier de présenter sa maison et le résultat de la transformation. Il avait étudié les emboitements, les encoches, la charpente ....Un vieil ouvrage qu’il avait consulté l’avait aidé pour le plan.

    Cette réalisation restait un passage mémorable de sa vie !

 

Chaque mois, il déposait ses produits chez l’épicier qui lui avait toujours témoigné son soutien.

Anna vendait son artisanat ukrainien. Ainsi, pouvaient-ils acheter des vivres.

Ce jour-là, sur la vitre, une affiche: la représentation d’un ballet classique durant la semaine.

Ce soir –là, c’était l’antépénultième.

Anna, intéressée par le spectacle, supplia Paul de rester pour la nuit. Il acquiesça d’un signe de tête.

Un repas frugal pris à l’auberge, ils s’installèrent dans la salle communale où régnait une agitation particulière: vente de programmes, réglages divers, placement du public...

Peu à peu, la salle fut comble.

Une à une, les lumières s’éteignirent. Le rideau s’ouvrit sur une scène joliment décorée. Les premières notes de musique s’élevèrent sous la charpente. Sur un fond de nuit, une jeune ballerine fit son entrée. Une jupe de tulle bleu posée sur un justaucorps, elle esquissa ses premiers pas gravement, puis avec légèreté.

L’assistance retenait son souffle et demeurait impressionnée par la grâce de la jeune soliste qui transmettait son émotion.

Anna, troublée, prit la main de Paul.

Quelle extraordinaire ressemblance avec la petite fille qu’elle avait été!

Le public fut conquis par la grâce des courbes, l’envol des pointes, la légèreté des mouvements des dix danseuses du corps de ballet qui entrèrent sur scène.

Debout les spectateurs applaudirent d’enthousiasme, en réclamant un bis de la variation.

Une reprise de cette dernière partie emplit la salle d’allégresse. Le retour de la jeune soliste fut salué par une ovation.

Le rideau tomba. Paul et Anna se précipitèrent à l’arrière de la salle. Ils voulaient découvrir qui était cette belle danseuse à l’avenir prometteur!

Ils furent interceptés par le concierge à qui ils posèrent mille questions!

L’homme s’éloigna, puis revint quelques instants plus tard en compagnie  d’une jeune femme qui se présenta:

__Bonsoir, je suis Madeleine Gagnon  de la pension-école.

     La jeune fille que vous venez de voir est une de nos protégées, Estelle LEONARD.

   Depuis toujours, elle montre un grand talent pour la danse.

 

Le visage de d’Anna se figea. La ressemblance, le prénom Estelle !

C’en était trop pour elle !

__Nous avions une petite fille prénommée Estelle, rétorqua Paul.

    Pour des raisons douloureuses, nous l’avons confiée aux bons soins de la pension-école, il y a plus de dix ans !

 

       Madeleine blêmit en écoutant cette révélation.

      Avait-elle, devant elle, les parents d’Estelle?

C’était un moment de gravité exceptionnel.

Paul révéla les conditions de séparation et d’abandon de leur petite fille.

Madeleine ne put répondre. Tout son être frémissait.

D’une voix grave, elle dit:

__Ce n’est ni le lieu, ni le moment pour en parler. Venez demain matin à la pension.

 

Le couple envahi par une vive émotion, ne put retenir ses larmes et rejoignit la chambre à l’auberge.

La nuit fut courte. Très tôt, les volets s’ouvrirent. Paul descendit le premier, sortit avec le chien et s’assura que le petit cheval avait eu sa “pitance”.

Ils prirent leur petit déjeuner hâtivement, le visage grave, les traits tirés.

Anna, silencieuse, fixait sa tasse de thé.

 

                                                 Les retrouvailles

 

Sur le perron de la pension-école, d’une main tremblante, Paul saisit le heurtoir de la lourde porte. Deux coups résonnèrent.

Madeleine les accueillit et les invita à s’asseoir dans le petit salon.

__Estelle dort encore, dit-elle.

    C’est mieux .Nous serons plus à l’aise pour parler.

Paul raconta leur vie depuis le début. Madeleine dont les yeux se voilèrent très vite, était bouleversée par leur histoire. Puis vint l’instant d’évoquer l’abandon de leur enfant. Paul sanglotait.

Anna cacha son visage dans ses mains.

__C’est ma faute, je suis tombée malade!  s’écria-t-elle.

__Pour moi, ce fut un immense bonheur de découvrir ce bébé, de voir grandir cette petite fille vive et enjouée, d’être émerveillée devant sa soif d’apprendre et ce don pour la danse !

 

Dans l’encadrement de la porte, Estelle apparut, ses longs cheveux défaits.....Elle semblait avoir tout entendu !

__Je rêvais tant de connaître  mes vrais parents depuis si longtemps! dit-elle en s’élançant dans leurs bras.

Madeleine se retira afin de préserver cette intimité familiale.

Une heure plus tard, la famille retrouva la jeune éducatrice qui présenta la directrice. Cette dernière leur parla de toutes les vérifications nécessaires qui confirmeront leur identité.

___Est-ce que je pourrai aller voir où vivent mes parents ?demanda Estelle avec empressement.

___Oui, bien sûr, répondit Madeleine.   Dès que les cours s’arrêteront, dans trois semaines, ton père viendra nous chercher.

        J’ai la tutelle de votre fille jusqu’à sa majorité, ajouta-t-elle en s’adressant à Paul.

      Auparavant, nous devrons mettre en place les formalités de visite que le juge établira et vérifiera,     ainsi que les preuves de la naissance de votre fille...

 

S’en suivit un repas familial à l’auberge avec Madeleine qui aborda l’avenir d’Estelle.

__A la prochaine rentrée scolaire, votre fille ira à la pension-école de Montréal. Ses résultats scolaires sont exceptionnels. De plus, elle pourra poursuivre les cours de danse au conservatoire.

 

L’avenir leur souriait.....Une étoile brillait.....La même petite étoile trouvée, dans la neige, un soir d’hiver...

 

                               fin

 DANY

                          

 

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1 août 2012 3 01 /08 /août /2012 23:18

Nouvelle

 

 

 

Cette nouvelle sera peut-être l’antépénultième écrite par Jaêl, allez savoir.

pourtant quel bonheur de participer aux écrits de ces poètes au long

cours.

 

J’ai du consulter ma boîte à image, pour ce mot à charnière, afin d’agiter

mes neurones et en saisir le sens.

 

Heureusement, notre semaine de vacances mémorable, avec marche au bord de la falaise de Leucate, ou il ne faut pas jouer au fanfaron, nous a encore

démontré quel respect nous devons avoir, en face de cette nature si bien

programmée.

 

Sur ce beau plateau rocailleux de Leucate, un joli mannequin se faisait

 photographier dans une magnifique robe bleu turquoise flottant au vent

du bord de mer.

 

La fin du séjour, nous a offert, près du Canigou une visite des gorges de la Fou,

ou coule une rivière qui a façonné durant des millénaires, cette roche calcaire.

 Un site grandiose à voir absolument.

 

Quand au mot indigence, s’il avait été nôtre, ces moments de bonheur

ne pouvaient être écrits.

                                                Jaêl

 

 

 

 

 

 

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