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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 09:29

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31 janvier 2011 1 31 /01 /janvier /2011 17:46

 

 

Méli-mélo de mots !

    Je viens de vérifier, car j’avais un petit doute, mais nous sommes bien le tout dernier jour de janvier ! Donc, au travail… d’autant qu’une mystérieuse Ama m’a gentiment parlé hier soir de sanctions !.....

   Faute de temps (et faute d’inspiration aussi…), je vais tout simplement essayer de « triturer » ces dix mots en tous sens (encore un vieux réflexe d’instit’, je viens d’aller vérifier et on peut l’écrire aussi : en tout sens). On verra bien ce qu’il en ressortira !

     à fleur de peau : ça, c’est « fastoche », je pense à pot de fleurs ; vous y planterez à votre guise des primevères ou des surfinias.

     âgisme : je serais bien tentée par gâtisme, mais c’est un mot que je n’aime pas beaucoup et de toute façon il manque une lettre… Je vous propose le geai, l’ami(e), la magie, les images et bien sûr les mages, bien présents en ce premier mois de l’année !

     froid : ne nous donne que de tout petits mots, comme do, l’if, l’or (l’encens et la myrrhe), l’ordi - cet engin à la fois magique et diabolique -, nous avons aussi la foi, le roi - encore lui ! – et au-delà des Pyrénées el rio.

     frôler : un très joli mot qui évoque le vol gracieux d’un oiseau, un effleurement tout en douceur et qui donne le fer, le rôle, la flore et en vieux français, le fol. Saviez-vous que la citation bien connue : « Souvent femme varie, bien fol est qui s’y fie ! » est de François Ier, Roi de France et Prince des Arts (1494-1547) ?

   Je n’ai pas su résister : en voici deux portraits.

 

                   Francois Ier                           francois-ier 

    opuntia : nous avons le choix, avec le pot, le pain, le pont, le patin (à roulettes ou à glace), mais aussi le piano, le pinot, le potin, le point, (qui peut être à la ligne, d’interrogation, virgule ou d’exclamation), sans oublier pointu, qui se dit « pounchu » en Provence et « pinzutu » (au pluriel « pinzuti ») en Corse.

    paléographie : présente  d’infinies possibilités, mais ça commence bien mal, avec l'aérophagie et la paraplégie... Il y a heureusement aussi des mots plus anodins: le poil (épiler vient juste après !), la parole, le rail et le phare, le galop, l’orage et la grêle, plié(e) - de rire, bien sûr ! - . Sans oublier l’apéro et l’opéra, la grippe et la galère, l’agape, l’arpège et pour finir la harpe, que talonne la harpie…  

      peaufiner : avec celui-ci, nous avons le pain (déjà cité, il me semble ?), et bien sûr la farine, le panier, l’épine, la fin, repu(e), et on termine tout en délicatesse avec le rupin et le purin !...

      radar : celui-là, je ne l’aime pas du tout, surtout lorsqu’il est mobile, donc imprévisible ; de plus, il n’y a absolument rien à tirer de ses 5 lettres…

      synopsis : donne quelques petits mots sympas, comme le pion, le soin, les (petits) pois, le yin - sans le yang - et, seulement en cas d’absolue nécessité, le psy !

      Pour le zéphyr, c’est tout simple puisqu'il n’y a qu’un seul mot : hyper. Très branché, non?

  Un petit commentaire pour terminer : pour gagner un peu de temps, je suis allée chercher un complément d'inspiration sur

               http://www.anagrammeur.com.

  Et un autre petit commentaire à l’intention d’Ama : elle se souvient peut-être m’avoir entendue dire que ce mois-ci je ferais un texte très court…

  Ce sera (peut-être…) pour le mois de mars !

MNo

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31 janvier 2011 1 31 /01 /janvier /2011 11:04

Jeu de mots

Sur la table, mon vieux dico,

En baillant, s'est ouvert à une page ;

Je m'en approchais aussitôt,

Et mes yeux s'accrochèrent sur un mot :

Agisme .J'ai senti alors un reproche ;

C'est vrai, j'avais mis au rebus

Ce brave compagnon de route,

Il me l'a rappelé, sans doute ....

C'est alors qu'un malin zéphyr

Par le biais d'une porte entrouverte

 Gentiment, tourna d'autres pages.

 

Comme décelé par un radar,

 Synopsis attira mon regard!

Etait- ce vraiment dû au hasard?

Ou, ces mots, si peu usités

Voulaient me faire remarquer

L'étendue de mon inculture

  ou peaufiner mon écriture?



 Aussi aimable qu'un opuntia,

J'allais faire taire ce cinéma

En fermant vivement ce glossaire

Qui frôlait bien trop le mystère.



Il faut bien avouer mon défaut,

J'ai les nerfs à fleur de peau,

Mais, malgré un froid dans le dos,

La curiosité fut plus forte, car,

De mon plein gré, cette fois,

Je soufflais pour tourner des pages

Et, fermant les yeux de surcroît,

Je pointais, sur un mot, un doigt.

Quelle ne fut pas ma surprise !!

Ce fut paléographie qui parla.

Cette fois, j'écouterai la voix;

Je vais de ce pas ressortir

Mon sac à dos, mon visa et partir

Survolant, naviguant, découvrir

L'immensité des océans

Et des paysages ..... sidérants !      Colette

 

 

 

 

 

 

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29 janvier 2011 6 29 /01 /janvier /2011 19:08

Ecran noir

                     Pourtant, je le savais.

Rouler la nuit, c’est pas pour moi, surtout sur ces petites routes.

Evidemment, la « Folle du Logis » s’est emballée.

Ma « Coccinelle » bleue avance sous une voûte d’arbres menaçants.

Le froid s’infiltre dans l’habitacle.

                                        Adieu Zéphyr !

                      Bonsoir l’angoisse, à fleur de peau !

Des formes étranges apparaissent dans les fossés, frôlant la carrosserie.

Des opuntias géants dressent leurs lances, agressives sentinelles.

Mais pourquoi ai-je choisi d’éviter l’autoroute même si l’œil fixe du radar m’attendait ?

Ouf ! enfin… les virages connus, la descente-piège, le rond-point accueillant.

Et voici la colline, la maison éclairée, la crainte envolée !

Terminés le gâtisme et tous les âgismes en embuscade.

Fin du synopsis d’épouvante !

                « Moi, je me suis fait mon cinéma….. ! » (air connu)

 

La Julie

 

PS : Elle me l’avait pourtant bien dit

« la Julie »

qu’ elle  n’avait  pas peaufiné son manuscrit…

mais,  avec ma licence en paléographie...

je m’en suis plutôt « bien sortie » !!

 

Ama

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29 janvier 2011 6 29 /01 /janvier /2011 19:06

Monsieur ou Madame « Moi….je…. »

Jamais discrets, toujours en avant,

La grosse tête, souvent bedonnants.

Nul besoin de radar pour les détecter,

De très loin, vous les voyez arriver.

Ils ont les euros à fleur de peau ;

Piquants comme des opuntias, leurs propos

Vous font froid dans le dos.

« Etre ou ne pas être » n’est pas leur question,

« Paraître, paraître, paraître » est leur obsession !

Ne frôlent-ils pas souvent le ridicule

Quand, avec emphase, ils articulent

Des phrases toutes faites, par habitude,

Toujours très fiers de leurs certitudes

Qu’ils n’ont pas besoin de peaufiner

Puisqu’ils les ont si souvent répétées.

Ici, serait inutile la paléographie,

On perçoit, sans décodeur, l’hypocrisie.

Encore et encore, le même synopsis

Qui s’accroche tel l’ampélopsis

Sur un mur d’orgueil et de vanité,

Pas le moindre zéphyr pour les perturber :

Ils possèdent la Vérité…

Votre rôle est de les écouter…

Ne vous risquez pas à donner votre opinion…

Ils vous prendraient pour un C... !!!

(Désolée…d’âgisme, il n’a pas été question !)  

PS : Oui…mais…derrière une telle assurance,

Ne cachent-ils pas…une réelle souffrance ?

( à méditer…en silence…)

Ama

 

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20 janvier 2011 4 20 /01 /janvier /2011 22:45

Dix mots maudits…

 

J’ai les nerfs « à fleur de peau », moi qui croyais peaufiner un synopsis intéressant, j’en ai froid dans le dos, maîtriser la paléographie ne résout pas mon problème ; pas de radar en vue : j’accélère : «  âgisme, racisme, sexisme….. » peu m’importe…je souhaite qu’un doux zéphyr éparpille ces termes et les épingle à jamais sur un magnifique opuntia (et d’ailleurs…

qui le « frôle » s’y pique !! ).

 

Ama

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20 janvier 2011 4 20 /01 /janvier /2011 22:43

PANIQUE DANS LES DUNES

 

 

 

Le RADAR situé sur un des camions de la télévision,  précaution en vue d'éviter de se perdre  dans les dunes de cet immense désert,  signale soudain qu'un ovni semble se diriger tout droit vers le lieu de tournage  d'un documentaire sur la PALEOGRAPHIE, science des écritures anciennes.

 

Cette crainte s'avère vite être une réalité et l'approche de cet engin transforma le ZEPHIR qui rafraichissait agréablement l'atmosphère brûlante de ce lieu de fouilles en un vent FROID et violent qui bousculait tout sur son passage. Les décors, le matériel, les caméras, tout fut en un instant renversé comme fétu de paille.

Le metteur en scène, affolé, les nerfs A FLEUR DE PEAU gesticulait en tous sens, courant après le SYNOPSIS  dont les feuillets tourbillonnaient

au gré du souffle de l'atterrissage.  Ce document, tellement PEAUFINE par le scénariste ne devait en aucune façon être perdu, seul

exemplaire portant toutes les corrections exigées par l'équipe.   Il fallait donc rassembler toutes les pages et chacun s'y employait de son mieux

mais pas assez vite au gré du metteur en scène qui houspillait son petit monde à l'aide de petits noms d'oiseaux faisant ainsi preuve d'un

AGISME aussi inadapté qu'injuste, car si ses acteurs n'étaient pas des jeunes premiers, ils n'étaient pas pour autant des vieillards et ne

méritaient en aucune façon d'être traités de "vieux  c....."  ou  "vieil imbécile"  .....

 

Après maintes péripéties  le calme revint et chacun, conscient d'avoir FROLE  le pire, s'avança dans un bel ensemble  vers ces petits "hommes verts" qui débarquaient de la soucoupe et auxquels ils offrirent - timidement -  les figues de barbarie cueillies sur les  OPUNTIAS  qui croissent en nombre sur le sable de tous les déserts du monde.

 

ET  C’EST AINSI QUE LES MARTIENS APPRIRENT A PARLER 

L’ ARAMEEN !!!!!!

                                                                                                                                                                MARIETTE

 

 

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20 janvier 2011 4 20 /01 /janvier /2011 22:42

Haut du formulaire

Un conte de Noël pour petits et grands 

                                             de 0   à 100 ans et plus ......      

          

                                                 TEMPETE BLANCHE          

                  L'année s'en est allée sur la pointe de ses bottes gelées ...

 Un hiver précoce était entré en force dans tout le pays, avec son cortège de flocons,  de vent et de froid ....Une de ces saisons qui redessine le paysage.....  Au souffle apaisant du zéphyr habituel, s'étaient substituées les fortes rafales du  blizzard qui balaient tout sur leur passage......      

          Le manteau  neigeux  s'épaississait au fil des jours ; tout disparaissait sous la couche   immaculée ...... 

                                            NOEL   APPROCHAIT ..... 

           Dans son chalet, le bonhomme au long manteau rouge s'affairait à peaufiner les  préparatifs de sa tournée ...

            Ce matin-là, le seuil et les fenêtres de l'habitation  n'étaient plus visibles…        Sur le  balcon de bois, à l'étage, il montra  une inquiétude à fleur de peau ....  

            Une neige dense et serrée l'enveloppa dans un drap blanc, le transformant en  homme de givre et de glace ..... effaçant  progressivement le pourpre de son manteau         

       __ Je ne peux faire ma tournée ainsi !!   grommela-t-il ....

            Le ciel cotonneux rejoignait le sol enneigé en un brouillard gris et gras ...

            Le monde était devenu une vaste étendue uniforme .....Un désert blanc, un paysage  surréaliste !......

 PLUS D'ARBRES, PLUS  DE CHEMINS, PLUS RIEN ......LE NEANT !!!

    Ô  combien il aurait souhaité la présence d'un dispositif-radar !

             L'œil essayait de s'accrocher à un repère  ......

       Mais pins, sapins, opuntias et autres espèces végétales étaient enfouis…..  

       Il ne pouvait  rejoindre ses rennes qui se terraient dans leur étable apeurés par  les terribles grincements qui résonnaient autour d'eux ....

          Tiraillé entre impatience et découragement, le Père Noël s'assit dans un coin du grenier. Dans cette obscurité, parmi les objets oubliés, son regard balaya cet univers à l'odeur d'antan ...

             Sur l'étagère recouverte d'un voile poussiéreux, d'un geste furtif, il prit un ouvrage dont la couverture  illustrée présentait un titre écrit en lettres dorées :    "  PALEOGRAPHIE "

              Il n'y a pas d'aventure plus extraordinaire que cette science qui a permis à des savants de réussir à percer le mystère des fragments d'argile portant les traces  d'une  écriture  perdue dans le temps ...

             Nous sommes au début du vingtième siècle.

        En Crète, les signes  d'une langue écrite ont livré leurs secrets ....

            Grâce à leur ferveur et leur patience  , ces  chasseurs de trésors de l'ombre  se sont  lancés dans l'aventure ....Deux savants passionnés  parviennent à bout de leur  recherche ....Le premier réussit  à dater ces fragments ; l'autre, ayant repris le  flambeau de son mentor parvient , bien plus tard, à la traduction de ces signes .

         Cette histoire de l'Histoire est le synopsis d'un film                

              "ECRITURE, MEMOIRE DES HOMMES"

-avec pour décor grandiose, les ruines du palais de Cnossos-

               que le père Noël s'imagine, en refermant l'ouvrage !

-Etre acteur dans ce film, voilà ce que j'aimerais, à condition qu'un rôle me soit  attribué sans âgisme ! - pensa le vieil homme sans âge .....

              Dehors le vent était tombé ; la neige avait cessé ....

Soudain, un souffle d'air,  semblable à un soupir, vint percer le profond silence  et l'entoura d'une fraîche caresse, le frôlant tel un frémissement d'ailes, l'enlevant  ainsi à ses pensées ....La magie s'opéra…

         Un rayon de soleil creva la couche nuageuse, traversa l'épais brouillard  et se figea devant l'entrée ....

Le laser lumineux, dans sa progression, creusa un passage comme une gorge dans  un massif montagneux ....

  Le Père Noël demeura interdit et le temps de retrouver ses esprits, réalisa qu'un miracle de Noël s'était accompli ! Il poussa un grand soupir de soulagement et se mit à la tâche, sur-le-champ : préparer les rennes, remplir son traîneau, vérifier ses commandes !

                   IL LUI RESTAIT TANT A FAIRE !

                      Avant minuit, il  fut prêt !!!

 Avant de s'engager sur le chemin gelé, mais dégagé, il leva les yeux vers le ciel recouvert d'un voile de lune ....

                     En reconnaissance, il fit un signe de la main sous la voûte éclairée .... Il lança  le signal du départ et son attelage s'enfonça dans la campagne enneigée...

                 LA BELLE NUIT DE NOEL COMMENCA ......

 

 Dany

 

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20 janvier 2011 4 20 /01 /janvier /2011 22:37

Coup de froid, coup de chaud !

 

Pour un écrivain en herbe, qu’il soit jeune ou âgé, une synopsis semble évidente.

Et…lorsqu’on constate que notre chère langue s’en va à vau-l’eau, mieux vaut-il posséder un dictionnaire, si bien défini par André Chamson « véritable radardu langage qui donne l’écho de chaque mot, à tous les horizons ! »

Quelle belle métaphore !

Mais, voilà, depuis la paléographie, que de transcriptions ont transgressé les règles. De quoi vous faire froid dans le dos, sans pour autant vous mettre les nerfs à fleur de peau.

C’est la logique même de l’existence humaine.

Ainsi, on peut se retrouver devant ce progrès tel un barbare inadapté face à cette évolution sans cesse croissante.

Et ! Oui ! ce terme « âgisme » ne m’a pas déboussolé mais poussé dans mes retranchements de septuagénaire avancé ! Drôle, non !

Ah ! décidément, il faut savoir peaufiner ses écritures si l’on ne veut pas frôler le ridicule.

Nanti d’une nouveauté dans mon glossaire, j’ai  évité un beau cactus affublé d’un si doux nom d’opuntia !

Ouf ! Je suis heureux de m’être sorti cette épine de la main.

Tel Jean de La Fontaine, j’en conclus que « si tout m’a paru, à première lecture, aquilon, tout me semble, maintenant, zéphyr. »

Serge

 

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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 07:48

Traces

 

Quand on se mord avec les dents,

Il y a du sang qui coule,

 Ça fait une cicatrice.

 

Ensuite on se gratte avec les ongles,

Ça fait une brûlure.

 

    Rémi, Lou Ann, Robin et Martin

 

10 ans, 9 ans, 8ans , 8 ans

 

Fin...

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  • : Le blog de onselit.over-blog.com
  • : Tout a commencé lors de la semaine de la Langue Française... Mademoiselle Qui a organisé une "modeste manifestation non internationale" intitulée "poésie, on se lit, on se lie". Il s'agit pour chacun d'entre nous d'écrire un texte en prose ou en vers contenant 10 mots proposés en début de mois. Ces textes sont diffusés le mois suivant jour après jour à chaque membre du groupe. "on se lit, on se lie" !
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